
Bertrand Couderc crée la lumière de nombreux spectacles, autant au théâtre qu’à l’opéra. Dans ce domaine, il collabore avec les plus grandes scènes du monde, telles que le Staastoper de Berlin, le Metropolitan Opera de New York, le Teatro Real de Madrid; le Bunka Kaikan de Tokyo, ou encore l'Opéra de Vienne.
Bertrand Couderc crée la lumière de nombreux spectacles, autant au théâtre qu’à l’opéra. Dans ce domaine, il collabore avec les plus grandes scènes du monde, telles que le Staastoper de Berlin, le Metropolitan Opera de New York, le Teatro Real de Madrid; le Bunka Kaikan de Tokyo, ou encore l’Opéra de Vienne. Invité régulier du Festival d’Aix-en-Provence, il participe notamment à L’Amour des trois oranges de Prokofiev, Didon et Énée de Purcell…
En 2005, Patrice Chéreau lui demande d’éclairer Così fan tutte au Festival d’Aix et à l’Opéra national de Paris. Suivront Tristan und Isolde de Wagner à la Scala de Milan sous la direction de musicale de Daniel Barenboim ainsi que la pièce de théâtre La Nuit juste avant les forêts de Bernard-Marie Koltès. Citons également De la maison des morts sous la direction de Pierre Boulez donné au Theater an der Wien de Vienne ainsi qu’à Aix et dans plusieurs grands théâtres dont l’Opéra national de Paris en 2017.
Bertrand Couderc a éclairé les deux derniers spectacles de Luc Bondy, Charlotte Salomon au Festival de Salzburg 2014 et Ivanov au théâtre de l’Odéon en 2015.
Fidèle collaborateur depuis 2015 de l’ensemble Pygmalion et Raphaël Pichon, il crée les éclairages des Funérailles de Louis XIV à la Chapelle royale du Château de Versailles, et en 2018, ainsi que la Passion selon saint Jean de Bach à la Philharmonie de Paris. En 2019, il a éclairé les Vêpres de Monteverdi à la Chapelle royale du Château de Versailles, puis à Mein Traum en 2020… Lors du festival Pulsations 2020, Bertrand Couderc a éclairé Dido & Æneas, La Descente d’Orphée et Immersions
Depuis 2015, il s’associe à Bartabas et à l’Académie équestre de Versailles pour les chorégraphies de Davide penitente, du Requiem au Felsenreitschule de Salzbourg et à la Seine Musicale, et dernièrement pour Le Sacre du Printemps toujours à la Seine Musicale.
Plus récemment à l’opéra et au théâtre, son travail a été vu dans Manon et La Cenerentola de Rossini à l’Opéra national de Paris, Pelléas et Mélisande de Debussy et Les Noces de Figaro de Mozart au Théâtre des Champs-Élysées, La Femme sans ombre de Strauss à l’Opéra de Vienne, La Vie de Galilée, Angels in America, Bajazet à la Comédie-Française, Boris Godounov à l’Opéra de Monte-Carlo…
Bertrand Couderc est lauréat du programme Hors-les-Murs 2017 de l’Institut français pour son projet L’esprit du vide au Japon.